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Des acteurs de la Société civile exigent que des enquêtes judiciaires soient diligentées le plus tôt pour élucider les circonstances de l’assassinat de Anne-MarieBuhoro. Activiste des droits de l’homme, Anne Marie Buhoro a été tuée par son mari, un capitaine des Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC), la nuit du 28 au 29 janvier à Minova dans le territoire de Kalehe.

Elle était engagée par la Fondation Panzi notamment dans la prise en charge des victimes des survivants des violences sexuelles ; renseigne la Coalition Congolaise pour la Justice Transitionnelle, CCJT.

Notons que la défunte Anne Marie Buhoroâgée de 43 ans, était mère de cinq enfants poursuit la Coalition Congolaise Justice Transitionnelle.

Il est à préciser également que la voix de la CCJT se joint à celles des femmes qui ont manifesté le week-end dernier à Minovapour exiger justice pour la victime.
Dans sa déclaration datée du 30 janvier 2022, la CCJT et ses membres disent être prêts à soutenir la famille de la victime pour la réussite de cette action en justice.

Ce meurtre intervient après celui de la journaliste Charline Kitoko de Vision Shala, sous station de Kamituga en date du 05 janvier 2022.

Sylvie Nabintu/Bukavu

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