La sixième édition du festival Cinéma au Féminin a été lancé officiellement à l’Institut Français de Kinshasa, mardi 13 juillet dernier, sous le thème »Industrialisation du Cinéma congolais ».

Cette activité Culturelle va permettre de relever les défis d’un cinéma congolais face aux opportunités qu’offre l’industrie cinématographique et son pouvoir productif.

Le FCF est très honoré d’avoir comme Marraine Spéciale la Distinguée Première Dame de la République Démocratique du Congo, Madame Denise Nyakeru Tshisekedi

Le thème de cette édition axé sur l’économie du Cinéma était inspiré par la nouvelle étude de l’UNESCO dénommée : «L’industrie du Film en Afrique, Tendances, défis et opportunités de croissance » qui estime que cette industrie cinématographique et audiovisuelle en Afrique pourrait créer 20 milliards de dollars américains de revenus par an.

Le Festival du Cinéma au Feminin existe afin de célébrer la femme, un panel sur le rôle central de la femme dans le développement intégral. Pour ce qui concerne la programmation, 240 films ont dû être sélectionnés sur une moisson abondante de 2642 films reçus au départ et pour au finish ne retenir que 85.

En outre, lors de la cérémonie d’ouverture le film «IMA» de Nils Tavernier avec le célèbre chanteur Dadjou sera de la partie en présence de l’actrice principale Karidjz Touré.

Au total 57 films en hors-compétition et 28 en compétition vont concourir pour 11 prix dont 8 en international et 3 en national.

En effet, les noms des personnes qui seront à la tête de jury international sont déjà connus à l’instar de Dada Kahindo, Moimi Wezam et Bibi Kruba Alias Kabibi de La vie est belle.

Des panelistes du Nigeria , Burkina Faso , Côte d’Ivoire, Sénégal, Belgique et la France seront présents pour parler effectivement de l’organisation et du fonctionnement de leurs industries du Cinéma respectives et pourront inspirer l’opinion de leurs parcours et organisations.

Il sied de noter que la 6 ème édition du Festival du Cinéma au Féminin revêt un caractère particulièrement économique.

Pascaline MILEMBA