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Depuis la capitale congolaise où elle participe dans la formation des responsables des ongs , coordonnateurs et directeurs-pays sur la prévention, Exploitation et Abus sexuels (PSEA) dans une enquête. le numéro one de l’ong femmes mains dans la main pour le développement intégral révèle que depuis l’an 2020,il y a eu plusieurs cas de dénonciation d’Abus et d’exploitation sexuels qu’il faut prévenir.

« Depuis 2020 jusqu’à ce jour il y a eu plus de 73000 cas de plainte d’Abus et Exploitation sexuels et aussi dans les six derniers mois il y a eu pratiquement 2800 plainte venant des agences des nations unies, des ongs international et national ça c’était un danger permanent. il y a eu également8 allégations d’EAS depuis mars jusqu’à ce jour, donc tout ceci doit être prévenus pour éviter le danger car dit-t-on mieux vaut prévenir que guérir » dit Nathalie kambala.

Cette formation qui est assurée par le Haut-Commisariat des Nations -Unies pour les réfugiés a réunis toutes ongs de la RDC partenaires de cette agence et à pour objectifs principals de comprendre et d’avoir des bât solide de la bonne gestion d’une enquête d’exploitation et abus sexuels ,de décrire les rôles des parties prenantes, avoir les notions sur la préparation des termes de référence et maîtriser la bonne évaluation des risques dans une enquête d’EAS.

Ces assises qui ont débuté ce lundi 14 novembre 2022 avec les responsables des organisations partenaires à UNHCR vont se poursuivre le mardi avec les chargés de la prévention de l’exploitation et abus sexuels qui sont sensés éradiquer l’EAS dans le monde humanitaire.

Pascaline Milemba

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