Installée depuis début 2021 en date de 15 janvier par le gouvernement congolais, la situation de la surveillance et de contrôle sur le lac Albert est en difficulté. Information livrée à la RTM par le coordonnateur de l’unité de surveillance et de contrôle du lac Albert.
A en croire AVUTIYA ADREMA Thomas, depuis la deuxième moitié de décembre 2021, les unités sur place font les efforts pour stopper l’utilisation des matérielles prohibés utilisés par les certains pécheurs malheureusement cette dernière se heurtent sur une difficulté logistique.
‹‹ Nous sommes en train de faire un effort pour écarter tous ces matériels prohibés sur le lac, malheureusement depuis la moitié décembre 2021, nous nous heurtons sur un problème logistique, depuis que nous sommes là, nous n’avons des or bords ou des barques biens faire la surveillance et le contrôle, tous ce que nous utilisons nous louons très chers auprès des pécheurs. ›› affirme le coordinateur Adrema Thomas.
Hormis le problème logistique, l’on signale également la difficulté de la prise en charge des personnels et des unités des sécurités qui effectuent la patrouille sur le lac, face à cette situation, ce dernier craint cela joue négativement à la réalisation de l’objectif attendue, aussi le problème de trafic d’influence par certaines autorités politico administrative et militaires sur l’utilisation de ces matérielles prohibés par certains pécheurs ajoute AVUTIYA ADREMA Thomas.
‹‹ Aussi s’ajoute le problème de la prise en charge des unités de patrouilles sur le lac, et comme vous le savez, quand quelqu’un travail sans être payer, il doit nécessairement faire tous pour se faire payer. Troisièmement, l’autre problème c’est le problème de trafic d’influence par certaines autorités politico-administratives, policières tous comme militaire sur l’utilisation de ces matérielles prohibés et cela ne nous facilite pas la tâche.›› poursuit-il.
Pour ce faire, le coordonnateur, de l’unité de surveillance et contrôle du lac Albert, lance un appel aux autorités militaires de la province de l’ituri et au gouvernement central de penser à trouver une solution sur ces problèmes du lac Albert.
Picard LUHAVO/ Ituri
