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Le gouvernement congolais aurait débloquer du trésor public une somme de 400 000 $ (quatre cents milles dollars), à la disposition du ministère de l’Enseignement Primaire Secondaire et Techniques, pour la mobilisation des élèves lors du tournoi panafricain inter-scolaire.

Les propos se divergent sur le sujet, pour l’inspection Générale de Finance IGF, lors des enquêtes menées par ces agents auprès du ministère de l’EPST, plusieurs irrégularités ont été découvertes pour justifier la gestion la somme de 40 000 $ mise à sa disposition.

À en croire l’inspecteur Général de Finance Jules ALINGATE, deux factures auraient été trafiquées par l’EPST. Selon ce dernier, le ministère de l’éducation primaire secondaire et professionnels aurait justifier une somme de 120 milles Dollars pour louage des bus de transport auprès de la société TRASCO, chose que celle ne reconnaît pas. En revanche elle reconnaît avoir reçu une somme de 16 milles Dollars américain auprès du ministère de l’EPST.

La deuxième facture trafiquée est celle de l’impression des tricots des enfants qui devraient soutenir leurs amis joueurs au stade le jour de la finale. Pour celle-ci, l’EPST aurait multiplier la somme payée auprès du fournisseur des tricots par dix sur la facture, ajoute-t-il.

‹‹ Les inspecteurs ont découverts qu’il y avaient une somme de 120 milles dollars qui as été justifier par l’EPST sous prétexte d’avoir loué les bus de transport auprès de la société TRASCO, après nos enquêtes celle a reconnu avoir seulement reçu une somme de 16 milles dollars auprès de l’EST. Il en est de même pour le fournisseur des tricots des élèves lors de la finale, le fournisseur as décrié le comportement des agents de l’EPST qui avaient multiplier par dix la somme payée sur la facture. Ce là montre qu’il y a eu des trafiquautages des factures. L’effet étant flagrant, nous avons transféré le dossier auprès de la justice. ››. A révélé Jules ALINGAMETE à Monde24.net.

Par ailleurs, le directeur de cabinet du ministre l’EPST, le professeur Eddy MWANZO, qualifie la conclusion de l’enquête de l’IGF des manœuvres dilatoires politiques pour un fallacieux motif d’enquête de l’inspection de finance. Quant à lui, l’inspecteur général de finance l’aurait séquestré lui et certains conseillés du ministre Tony MWAMBA, par le truchement d’un policier commis aux services de l’IGF, et qui avait déclaré avoir reçu l’ordre de Jules ALINGETE, de 08 heures jusqu’à 23 heures juste, le mercredi 16 Mars 2022, jour de la séance de travail entre l’équipe de l’EPST et de l’IGF pour la présentation des preuves de la gestion de ces 400 000 dollars, précise Eddy MWANZO, directeur de cabinet du ministre de l’EPST dans une lettre d’indignation pour l’abus de pouvoir de la part de l’inspecteur général de l’IGF lui adressée.

Le directeur de cabinet ajoute cependant que, ce même jour de travail, dans la salle d’écoute de l’inspection générale des finances, Jules ALINGETE aurait fait une irruption dans la salle et commencer à menacé le professeur Eddy MWANZO devant ces collaborateurs en lui disant je cite :

‹‹ Allez dire à Tony MWAMBA qu’il ne peut me menacer par contre, je suis capable de le ridiculiser qu’il ose encore appelé son président de la république bloqué à Bruxelles. ››, fin de citation.

Ainsi donc, pour le directeur de cabinet du ministre de l’EPST, ces propos sont imprudents et incompréhensible et manifeste clairement l’acharnement et le manque d’objectivité qui caractérisent les enquêtes en cours de l’IGF, dont les conclusions sont en coup sûr baissées. Poursuit la lettre.

Quelle analyse faites-vous sur ces dossiers ?
Vos points de vues sont les bienvenus.

Picard LUHAVO

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