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Un acteur politique de la République Démocratique du Congo dont nous nous réservons sur son identité, dément toute implication dans l’affaire d’un sextape contre sa personnalité alors qu’un groupe des malfaiteurs possède certaines vidéos et photos montés de toutes pièces montrent sa dignité pour l’utilisation d’un chantage.

«Je ne suis pas impliqué dans cette affaire, ces inciviques m’ont demandé l’argent pour qu’ils ne puissent pas publier mes photos et vidéos qu’ils auraient, selon eux Ma conscience en étant tranquille, je les ai dit que je ne donnerais aucun sous.

Après une longue discussion avec cette bande des bandits, ils ont promis de publier mes vidéos et photos, dont je regretterai mon sort. Voilà pourquoi je dénonce cette vaste blague et pratique aussi que je suis victime dans laquelle les vidéos circuleront sur les réseaux sociaux» a expliqué la victime

Je vais faire quoi dans une affaire de sextape ? Pour gagner quoi? S’interroge la victime. Par ailleurs, ces fils de lucifer fait mention d’une conversation téléphonique et partage des vidéos entre moi et une femme. A t’elle ajouter

Dans cette conversation, datée, la bande demande une grosse somme d’argent pour se réserver de la publication des vidéos et photos cet homme politique congolais. « Maintenant, plus rien ne me surprend, c’est devenu comme une habitude chez eux , quand ils manquent à faire ,ils cherchent l’argent dans tous les sens, et chez moi ,ils n’auront rien. Je ne suis pas fou comme eux pour garspiller mon argent inutilement » enrichit-il

Conversation avec les criminels

« Je gagne très, très bien ma vie. Si un ami a
vraiment besoin d’aide, je le fais. S’il a besoin de quelques billets, je lui soutien.Je suis un homme politique, je ne suis ni un voyou, ni un maître-chanteur, ni rien du tout pour étaler ma dignité chez une femme. Si ma dignité a vraiment été montrée dans ces vidéos ou si j’avais été impliqué dans des écoutes, je n’est pouvait pas venir auprès de vous pour dénoncer ces torchons ici »

A lui d’ajouter « Dans cette affaire, je suis victime d’un groupe des malfrats.

Simon du Ciel OMARI

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