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Quinze (15) jours passés depuis la captivité des six (6) membres de la TASK FORCE par la milice de l’Union des Révolutionnaires pour la Défense du Peuple Congolais, URDPC/CODECO depuis le 16 Février dernier, jusque là, silence du côté du gouvernement central, néanmoins, quelques heures après son arrivée depuis Kinshasa ou il était dans une mission de travail, le gouverneur militaire de la province de l’Ituri, Johnny LUBOYA N’KASHAMA, va rejetter la faute aux victimes en captivité, donc Tomas LUBANGA et ces compagnons en disant je cite  » s’ils sont en captivité, c’est parce-que ils n’avaient pas respectés les consignes, ils avaient une mission d’aller et retour, comment se fait-il qu’ils ont été enlevés quarante et huit (48) heures, donc deux (2) jours après la fin de leurs missions ?, la faute leurs reviennent. » fin de citation, avait dit l’autorité de l’État de siège lors d’un point de presse tenue le premier (1) Mars à l’esplanade de son cabinet de travail.

Du côté des captifs, impossible de confirmer les propos du lieutenant général LUBOYA N’KASHAMA Johnny.

Cependant, la population de l’Ituri dit ne sait pas savoir comment se positionner sur. Alors que cette équipe de la TASK FORCE envoyée par le chef de l’État depuis le 28 décembre 2021, pour venir sensibiliser les groupes armés de quitter la brousse et d’adhérer au programme DDRC-S, avait seulement une durée de trois (3) mois pour réaliser sa mission. Malheureusement la durée de cette mission va prendre fin bientôt.

Quelques habitants de la ville de Bunia chef lieu de la province de l’Ituri rencontrer par Monde24.net, vendredi quatre (4) Mars 2022, ce dernier se sont posés plusieurs questions de savoir,
. Est-il la fin de la mission de la TASK FORCE?
. Celle-ci sera- t-elle renouvellée ?
. Le silence du président de la République par rapport à la libération de ces six (6) membres envoyés par lui-même signifie qu’ils sont délessés à leurs triste sors?

Ce habitants de la ville de Bunia qui ont préférés gardés l’anonymat, on finit en interpellant les autorités compétentes de ne pas oublier que ce groupe des gens en captivités est composé d’un acient seigneur de geurre, trois (3) officiers militaires de la FARDC dont un (1) général et deux (2) Colonels plus un leader et premier président d’une corporation réunissant plus de dix (10) communautés de la province de l’Ituri.

Que va-t-il se passer par la suite ?
Attendons voir, disent les français.

Picard LUHAVO

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